top of page
Ba Nhut et ses jeunes élèves
Royal SetJet.JPG
Une partie de la génération 2018 et leurs  partenaires / adversaires du Set Jet après leur rencontre amicale du 15 décembre 2018 .

Tournoi de Rixensart

Bon, puisqu’on me le demande si gentiment, voici un petit (!) résumé du tournoi de Rixensart où le Royal avait envoyé trois de ses plus jeunes (enfin presque) et beaux (enfin presque aussi) éléments: Johanna et moi en série E0-E4 ainsi que Salvatore en catégorie spectateur-sparring-partner - je m’en tape j’ai rien d’autre à foutre mon dimanche matin.

Pour être franc, il s’agissait d’une toute première pour moi et je dois dire que c’était assez intense pour diverses raisons. D’abord à cause de l’heure. Début de la compétition à 9h, présence requise à 8h30 alors qu’il fallait aller chercher mes deux partenaires de galère chez eux pour covoiturer, cela faisait un réveil bien piquant comme il faut à 6h45 du mat’ (et ce d’autant plus que la soirée s’était prolongée jusque 4h du mat’ vendredi avec un Nico C. à gerber et qu’un petit jogging de 12 bornes avait été intercalé le samedi après-midi. Soit). Le tout pour être de retour vers… 16h. Gloups.

Première surprise. Alors que je devais intégrer une poule de 5 joueurs, on n’était que 4 pour… 4 qualifiés. Bilan : deux défaites qu’on qualifiera sagement d’encourageantes (contre un E4 avec fiche de D4 qui allait battre son équipier Luc-Laurent Monniez en 8e et un E2 que je retrouverai peut-être à Piranha pour le match de la montée…) et une victoire à la belle contre un E4. Malgré ce petit raté à l’allumage, la suite allait être plus enthousiasmante. Après une bonne heure d’attente incompréhensible, me voilà en 16e de finale (alors que certains, dispensé de ce tour, avaient déjà terminé leur 8e, comprenne qui pourra) contre un je ne sais pas quoi que je battrai en 3 sets avec un rallumage difficile, terminant le match sur le premier 11-0 de « carrière ». La suite allait se corser avec, sur ma route, une certaine Johanna G., du Royal, club bien connu pour sa formation de jeunes. Parait aussi que son père est un bras cassé proche d’une promotion historique en Régionale. Cette jeune E2, sérieuse malgré ses 17 ans, restait sur un sans-faute en poules (4 victoires) et la veille en dames (3 victoires + le double), avec un jeu agressif à souhait. Bref j’avais beaucoup à perdre, et je le fis… durant deux sets, Johanna prenant davantage l’initiative que moi. Au lieu de resserrer, je fis de même par la suite et entama une RemontaJohanna d’anthologie pour m’ouvrir les portes des quarts et fermer ses rêves de gloire, Sorry, Johanna, mais il fallait que je saisisse l’occasion. Elle ne se présentera certainement plus si tu continues à jouer comme cela. En quart, au pied du podium, se dressa un mec aussi sympathique qu’une porte de prison, avec une coiffure de moine et un sourire oublié dans l’utérus de sa mère, à mon avis. Un E4 qui a une fiche de dingue (119 matchs, 53 victoires, avec notamment 8-8 contre des D0, 15-4 D2 et 12-3 contre des D6). Au final, j’ai logiquement perdu 3-1 après avoir pourtant mené 8-5 dans le 3e, à 1-1, d’où quelques regrets quand même. Mais c’était presque aussi fort qu’antipathique, et il est allé (au moins) en finale.

Vincent

La génération 2016-2017.
La salle permanente du 1er étage
La troisième mi-temps ...

Tournoi de Rixensart

Bon, puisqu’on me le demande si gentiment, voici un petit (!) résumé du tournoi de Rixensart où le Royal avait envoyé trois de ses plus jeunes (enfin presque) et beaux (enfin presque aussi) éléments: Johanna et moi en série E0-E4 ainsi que Salvatore en catégorie spectateur-sparring-partner - je m’en tape j’ai rien d’autre à foutre mon dimanche matin.

Pour être franc, il s’agissait d’une toute première pour moi et je dois dire que c’était assez intense pour diverses raisons. D’abord à cause de l’heure. Début de la compétition à 9h, présence requise à 8h30 alors qu’il fallait aller chercher mes deux partenaires de galère chez eux pour covoiturer, cela faisait un réveil bien piquant comme il faut à 6h45 du mat’ (et ce d’autant plus que la soirée s’était prolongée jusque 4h du mat’ vendredi avec un Nico C. à gerber et qu’un petit jogging de 12 bornes avait été intercalé le samedi après-midi. Soit). Le tout pour être de retour vers… 16h. Gloups.

Première surprise. Alors que je devais intégrer une poule de 5 joueurs, on n’était que 4 pour… 4 qualifiés. Bilan : deux défaites qu’on qualifiera sagement d’encourageantes (contre un E4 avec fiche de D4 qui allait battre son équipier Luc-Laurent Monniez en 8e et un E2 que je retrouverai peut-être à Piranha pour le match de la montée…) et une victoire à la belle contre un E4. Malgré ce petit raté à l’allumage, la suite allait être plus enthousiasmante. Après une bonne heure d’attente incompréhensible, me voilà en 16e de finale (alors que certains, dispensé de ce tour, avaient déjà terminé leur 8e, comprenne qui pourra) contre un je ne sais pas quoi que je battrai en 3 sets avec un rallumage difficile, terminant le match sur le premier 11-0 de « carrière ». La suite allait se corser avec, sur ma route, une certaine Johanna G., du Royal, club bien connu pour sa formation de jeunes. Parait aussi que son père est un bras cassé proche d’une promotion historique en Régionale. Cette jeune E2, sérieuse malgré ses 17 ans, restait sur un sans-faute en poules (4 victoires) et la veille en dames (3 victoires + le double), avec un jeu agressif à souhait. Bref j’avais beaucoup à perdre, et je le fis… durant deux sets, Johanna prenant davantage l’initiative que moi. Au lieu de resserrer, je fis de même par la suite et entama une RemontaJohanna d’anthologie pour m’ouvrir les portes des quarts et fermer ses rêves de gloire, Sorry, Johanna, mais il fallait que je saisisse l’occasion. Elle ne se présentera certainement plus si tu continues à jouer comme cela. En quart, au pied du podium, se dressa un mec aussi sympathique qu’une porte de prison, avec une coiffure de moine et un sourire oublié dans l’utérus de sa mère, à mon avis. Un E4 qui a une fiche de dingue (119 matchs, 53 victoires, avec notamment 8-8 contre des D0, 15-4 D2 et 12-3 contre des D6). Au final, j’ai logiquement perdu 3-1 après avoir pourtant mené 8-5 dans le 3e, à 1-1, d’où quelques regrets quand même. Mais c’était presque aussi fort qu’antipathique, et il est allé (au moins) en finale.

Vincent

itre 1

bottom of page